Un an de plus certes mais si je peux me permettre... tu es encore tres jeune! :
Bonne soirée d'anniversaire!
happy birthday
Modérateur : steph
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Mylene
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victor
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Jean Pi
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perrine
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bruno
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bilp
Moi je trouve qu'il vieillit quand même :
Il est où le temps :
où je n'arrivais pas à le suivre à l'ergo tellement il tirait comme une brute. (Je le vois même plus le mardi à l'entrainement, seul vincent continue à m'épauler, snif)
il courrait à la tortue génial et nous tirait pour que l'on avance (Maintenant il nous dit, allez y faites un tour de plus. Ou alors il est malade et peu plus venir. L'an dernier à la même période, on s'entrainait le mercredi à courir pour le canal, on faisait des sorties Lille-Don pour se préparer pour le rhin.
il faisait le canal en compétition (Maintenant on va visiter, limite faire les musées)
on s'alignait sur les compétitions avec la yollette de course. (La pauvre dandide, je ne sais même pas si on l'a sortie cette année)
on se faisait des têtes de rivière de Lille- Haubourdhin, Haubourdin Lille chacun à la nage de son bateau, et on restait côte à côte pendant des kms. (Bon ça je regrette pas, c'était souvent limite...)
On faisait des randonnées, on doublait les organisateurs, on se perdait et on terminait en tête de rivière.
On partait en sortie dans le train, il gazé la voiture avec ces maroilles, ces sauciflards, capable de manger un couscous de 3 jours resté en plein soleil dans sa gamelle de l'armée sans avoir le moindre pb. Joker, il fait toujours.
J'espère que le cap de la trentaine ne me sera pas aussi dur que ton cap de la 50taine.
Redeviens le compétiteur provensal, infatigable et assoiffée de rame.
Il est où le temps :
où je n'arrivais pas à le suivre à l'ergo tellement il tirait comme une brute. (Je le vois même plus le mardi à l'entrainement, seul vincent continue à m'épauler, snif)
il courrait à la tortue génial et nous tirait pour que l'on avance (Maintenant il nous dit, allez y faites un tour de plus. Ou alors il est malade et peu plus venir. L'an dernier à la même période, on s'entrainait le mercredi à courir pour le canal, on faisait des sorties Lille-Don pour se préparer pour le rhin.
il faisait le canal en compétition (Maintenant on va visiter, limite faire les musées)
on s'alignait sur les compétitions avec la yollette de course. (La pauvre dandide, je ne sais même pas si on l'a sortie cette année)
on se faisait des têtes de rivière de Lille- Haubourdhin, Haubourdin Lille chacun à la nage de son bateau, et on restait côte à côte pendant des kms. (Bon ça je regrette pas, c'était souvent limite...)
On faisait des randonnées, on doublait les organisateurs, on se perdait et on terminait en tête de rivière.
On partait en sortie dans le train, il gazé la voiture avec ces maroilles, ces sauciflards, capable de manger un couscous de 3 jours resté en plein soleil dans sa gamelle de l'armée sans avoir le moindre pb. Joker, il fait toujours.
J'espère que le cap de la trentaine ne me sera pas aussi dur que ton cap de la 50taine.
Redeviens le compétiteur provensal, infatigable et assoiffée de rame.
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bruno
Jérémie, je ne suis pas d’accord avec tous tes propos. Je ne pense pas avoir changé tant que cela du point de vue santé. Si la vie m’épargne à une simple grippe qui m’a certes empêché de disputer le Raid cette année, je peux dire que je suis un grand privilégié. Je pense que la forme est présente et que l’entraînement quotidien que nous faisions Sandrine et moi, en prévision du Raid, pouvait légitiment nous permettre de tutoyer le podium.jeremie a écrit :Moi je trouve qu'il vieillit quand même :
Il est où le temps :
où je n'arrivais pas à le suivre à l'ergo tellement il tirait comme une brute. (Je le vois même plus le mardi à l'entrainement, seul vincent continue à m'épauler, snif)
il courrait à la tortue génial et nous tirait pour que l'on avance (Maintenant il nous dit, allez y faites un tour de plus. Ou alors il est malade et peu plus venir. L'an dernier à la même période, on s'entrainait le mercredi à courir pour le canal, on faisait des sorties Lille-Don pour se préparer pour le rhin.
il faisait le canal en compétition (Maintenant on va visiter, limite faire les musées)
on s'alignait sur les compétitions avec la yollette de course. (La pauvre dandide, je ne sais même pas si on l'a sortie cette année)
on se faisait des têtes de rivière de Lille- Haubourdhin, Haubourdin Lille chacun à la nage de son bateau, et on restait côte à côte pendant des kms. (Bon ça je regrette pas, c'était souvent limite...)
On faisait des randonnées, on doublait les organisateurs, on se perdait et on terminait en tête de rivière.
On partait en sortie dans le train, il gazé la voiture avec ces maroilles, ces sauciflards, capable de manger un couscous de 3 jours resté en plein soleil dans sa gamelle de l'armée sans avoir le moindre pb. Joker, il fait toujours.
J'espère que le cap de la trentaine ne me sera pas aussi dur que ton cap de la 50taine.
Redeviens le compétiteur provensal, infatigable et assoiffée de rame.
Si je suis très légèrement moins présent maintenant au club, c’est que j’ai eu un changement très positif dans ma vie. Cependant, la passion commune qui nous anime, Sandrine et moi, pour le sport et en particulier l’aviron, me permet de jouir encore d’une grande liberté, la possibilité de continuer mon sport favori et de m’investir pour le club. La preuve en est que je partage, pour l’instant, la première place au challenge du rameur loisir.
Certes, je n’ai pas incité les participants au Rallye du Canal du Midi à faire une yolette de course, mais cet été, je participerai à mon 11ème Rallye, j’ai donc besoin de varier les plaisirs, c’est pourquoi comme l’année dernière où je l’ai fait en skiff pour la première fois, cette année Vincent et moi avions fait le pacte de le faire une fois enfin cool pour découvrir les beautés du Canal.
Je veux également rectifier le fait suivant, je n’ai pas encore la cinquantaine, je suis très heureux de mon sort, que cela soit du point de vue santé ou vie familiale et je souhaite que cela durera encore très longtemps.
Jérémie, je te souhaite vraiment de connaître le bonheur que je peux vivre actuellement et d’avoir la chance à près de cinquante ans de posséder une même santé que la mienne actuellement.